Des l’adolescence, Philippe préfère le crayon aux mathématiques et se met à dessiner et à peindre.
En 1972 ouvrant la porte de la Galerie de France, il reçoit son premier choc “pictural”.
L’école des beaux-arts de Toulouse, la découverte de l’art contemporain et surtout une très solide amitié avec Paul Vigroux, ce dernier le débarrasse alors de tous ses a priori, l’aide à chercher, à trouver puis à tracer son chemin.
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